
Si vous saviez comme Je me réjouis de vous associer à Moi en toutes Mes œuvres !
Vous, cherchez donc à devenir d’autres Moi-même
1.
Vous appartenez au temps nouveau : Dépouillez-vous du passé et de toute dureté de cœur envers votre prochain. Le passé est mort car le Prince du Siècle à venir nous rassemble tous sous son Signe. Renouvelez-vous, creusez les fossés de l’humilité, de l’obéissance, de la foi.
2.
Je suis l’Eau de la Vie. Creusez des fossés dans vos cœurs pour pouvoir Me recevoir. Aimer ce qu’est Jésus : M’aimer avec l’humanité et avec l’esprit, comme Moi je vous aime avec l’Esprit et l’Humanité, pour être avec Moi au-delà de l’Humanité.
3.
Si vous saviez comme je me réjouis de vous associer à Moi en toutes mes œuvres ! Quand une âme vit dans la charité, elle a le cœur calme et elle entend la voix de Dieu et la comprend. La force, c’est Dieu.
convertir !
Jésus dit : « C’est une chose sévère que d’être à mon service. Je suis venu pour être le Chemin, la Vérité et la Vie. Je vous donne la Vérité par ce que j’enseigne. Je vous aplanis le Chemin par mon sacrifice, je vous le trace, je vous l’indique. Mais la Vie, je vous la donne par ma mort. Et souvenez-vous que quiconque répond à mon appel et se met dans mes rangs pour coopérer à la rédemption du monde doit être prêt à mourir pour donner aux autres la Vie. Que chacun prenne sa croix comme Moi je la prendrai. Qu’il la prenne même si elle lui semble trop infamante. Qu’il laisse le poids de sa croix écraser son lui-même humain pour libérer son lui-même spirituel.
Le but, c’est Dieu. Tout voir en Dieu pour y voir clair. Ne pas mettre soi-même ni mettre autre chose au-dessus de Dieu. Élevez-vous, avec l’âme et la volonté, vers Dieu. La prière est un don que Dieu concède à l’homme et que l’homme donne à Dieu. D’‘homme’, s’élever pour être seulement ‘esprit’.
Ce n’est pas parce que je vous ai appelés que vous serez saints. C’est parce que vous le serez devenus après mon appel. La sainteté est une construction que chacun élève par lui-même. La Sagesse peut en indiquer la méthode et le plan. Mais le travail matériel, c’est vous que cela concerne. Pour avoir de Dieu la paix, c’est-à-dire sanctification et gloire, il faut avoir ‘bonne volonté’.
Je dois vous instruire pour vous rendre capables d’affronter le monde avec la douceur et la sagacité, le calme et la constance, avec la conscience et la science de votre mission de disciples. Vous n’êtes pas parfaits. Je le savais quand je vous ai pris. Et je ne prétends pas que vous le deveniez rapidement. Vous devez d’abord passer de l’état sauvage à l’état domestique au moyen de deux greffes, l’une de sang – le mien ; quand j’aurai perdu mon Sang, c’est Lui qui vous fécondera – et l’autre de feu. Après, vous serez des héros du Ciel et vous convertirez le monde, en commençant par vous. En mon nom, vous devez transmettre au monde l’harmonie céleste.
Qui êtes-vous ? Mes continuateurs. Oui. Vous l’êtes malgré votre égarement [lors de la Passion]. Que devez-vous faire ? Convertir le monde au Christ. Convertir ! C’est la chose la plus difficile et la plus délicate, mes amis. Le dédain, le dégoût, l’orgueil, le zèle exagéré sont tous très nuisibles pour réussir. Mais comme rien ni personne ne vous aurait amené à la bonté, à la condescendance, à la charité, pour ceux qui sont dans les ténèbres, il a été nécessaire – vous comprenez ? – il a été nécessaire que vous ayez, une bonne fois, brisé votre orgueil d’hébreux, de mâles, d’apôtres, pour faire place à la vraie sagesse de votre ministère, à la douceur, à la pitié, à l’amour sans arrogance ni dégoût.
Après l’épreuve qui, si elle a été humiliante et cruelle, a été aussi salutaire et nécessaire, que vienne en vous la paix du pardon. Et avec elle dans vos cœurs redevenez mes amis fidèles et courageux. Le Père m’a envoyé dans le monde. Je vous envoie dans le monde pour continuer mon évangélisation. Je vais retourner chez mon Père. Mais la terre ne sera pas privée de ma présence. Je serai vigilant et ami, maître et médecin, là où les corps ou les âmes, pécheurs ou saints, auront besoin de moi ou seront choisis par moi pour transmettre mes paroles aux autres. Car cela aussi est vrai, l’humanité aura besoin d’un acte continuel d’amour de ma part. Je serai spirituellement avec vous, toujours, et vos esprits sentiront mon Esprit, recevront ma Lumière.
Des misères de toutes sortes viendront à vous pour vous demander du soulagement. Soyez bons en pensant à votre misère quand vous êtes restés sans votre Jésus. Soyez éclairés. Dans les ténèbres, il n’est pas permis de voir. Soyez purs pour donner la pureté. Soyez amour pour aimer. Puis viendra Celui qui est Lumière, Purification et Amour.
Vous êtes tellement imparfaits et faibles, fermés et craintifs, que Moi, glorieux à côté de mon Père, je vous enverrai le Feu, la Force, l’Esprit de Dieu, l’Amour. L’Esprit du Seigneur, quand il sera établi à l’intérieur des cœurs, répétera mes paroles et en expliquera le sens. Vous ne serez plus ce que vous êtes. Mais nouveaux, puissants, saints…
Vous travaillerez, maintenant que vous vous connaissez humblement pour ce que vous êtes, car maintenant vous êtes sages d’une grande sagesse : celle de savoir que tout acte a des répercussions très étendues, parfois ineffaçables, et que celui qui est haut placé a plus que celui qui ne l’est pas le devoir d’être parfait.
Celui qui demeure en Moi ne subira pas de dommage de la part du Malin. En vérité je vous dis que ceux qui seront unis à Moi en servant le Très-Haut Créateur, dont le désir est le salut de tous les hommes, pourront chasser les démons, rendre inoffensifs les reptiles et les venins, passer au milieu des fauves et des flammes sans subir de dommage, tant que Dieu veut qu’ils restent sur la Terre pour le servir.
Oh ! vous qui êtes fidèles, vous qui formerez les futurs prêtres, rappelez-vous ma souffrance, formez-vous toujours plus à la sainteté pour consoler ma douleur, formez-les à la sainteté pour que, autant que possible, elle ne se réitère pas, exhortez, veillez, enseignez, combattez, soyez attentifs comme des mères, infatigables comme des maîtres, vigilants comme des bergers, virils comme des guerriers pour soutenir les prêtres qui seront formés par vous. Faites en sorte que la faute du douzième apôtre ne se répète pas trop à l’avenir…
Je suis de Dieu. Croient en Moi ceux du monde qui sont bons. Je suis pauvre, j’aime les pauvres, mais je ne méprise pas les riches, auxquels j’enseigne l’amour et la miséricorde et le détachement des richesses, de même que j’enseigne aux pauvres d’aimer leur pauvreté en ayant confiance en Dieu qui ne laisse périr personne.
Pour entrer dans le Royaume des Cieux, dont la porte est étroite, dont le chemin est escarpé, il ne faut que des trésors de vertus, immatériels, et il faut savoir se séparer de tout ce qui est attachement aux choses du monde et aux vanités. Lazare est arrivé à cette vertu qu’il est très difficile de trouver sur la terre et encore plus difficile à pratiquer pour l’enseigner à autrui : la vertu de la liberté à l’égard des richesses. Lazare est juste.
De même que le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et pour donner sa vie pour racheter un grand nombre, ainsi vous devrez savoir en faire autant, si vous voulez être comme je suis et où je suis ».






Se mesurer et mesurer est une sage mesure, toujours ; dans les petites choses et dans les grandes
Jésus prépare ses apôtres à la passion

Pour moi, Sa puissance m’a délivré du mal et elle m’a refait à neuf
l’apôtre Matthieu

« Puisque je suis un pauvre enfant, le plus misérable de tous, je demande tout à Dieu, le Père de Jésus et le nôtre »
l’apôtre Jean


Embrassez l’amour de Dieu
aimez, aimez comme Moi j’aime
Jésus dit : « Luttez contre les persécutions, mais ne luttez pas en persécutant ceux qui vous persécutent, mais en donnant une confession héroïque à ceux qui voudront, par des menaces de mort, vous persuader de me renier. Luttez sans cesse contre les ennemis. Tous. Contre votre humanité, contre vos peurs, contre les compromissions indignes, les alliances intéressées, les pressions, les menaces, les tortures, la mort.
La mort ! Je ne suis pas un chef de peuple qui dit à son peuple : ‘Souffrez pour moi, alors que moi, je jouis’. Non. Je souffre le premier pour vous donner l’exemple.
Je ne suis pas un chef d’armées qui dit à ses armées : ‘Combattez pour me défendre, mourez pour me donner la vie’. Non. Je combats le premier.
Je mourrai le premier pour vous apprendre à mourir.
Ainsi, comme j’ai toujours fait ce que j’ai dit de faire, prêchant la pauvreté je suis resté pauvre, la continence chaste, la tempérance tempérante, la justice juste, le pardon et j’ai pardonné et je pardonnerai.
Comme j’ai fait tout cela, je ferai encore la dernière chose. Je vous apprendrai comment on rachète. Je vous l’enseignerai non pas avec des paroles mais avec des faits. Je vous apprendrai à obéir, en me soumettant à la plus dure obéissance : celle de ma mort…
Je vous apprendrai à pardonner, en pardonnant dans les derniers tourments comme j’ai pardonné sur la paille de mon berceau à l’Humanité qui m’avait arraché au Ciel. Je pardonnerai comme j’ai toujours pardonné. À tous. Pour ce qui me concerne, à tous.
Et vous, pardonnez en mon Nom. Et aimez, aimez comme Moi j’aime, comme je vous aime et vous aimerai, éternellement.
Quand vous désirerez entendre encore l’Ami, le Maître, votre Sauveur, et seulement en lançant votre esprit dans les Cieux, vous pourrez trouver Celui qui vous a aimés plus que Lui-même.
Prier Dieu qu’il vous rende forts, pour avoir la force dans les tentations ».